Mais si les réparations sont impossibles, il reste deux solutions : soit le mutilé s’accepte tel qu’il est et prend le courage de s’exposer aux regards, soit il a recours aux prothèses.

La région nasale inférieure pouvait être réparée mais pas la supérieure, qui nécessitait la pose d’un faux nez suspendu par des lunettes.

Or ceux-ci avaient une couleur qui, même de loin, trahissait le trou du dessous. D’autre part, la lourdeur de cet appareillage et sa pose délicate lassait, humiliait les individus préférant un simple bandage ou l’exposition de leur visage.