Ce reportage fut diffusé le 27 mars 1999 à une heure tardive et il sera le sujet d'une importante polémique. L'émission, pourtant diffusée sur une chaîne publique, ne figure pas dans les archives consultables de l'INA.

 

Martine Bouillon, substitut du procureur de Bobigny et administratrice de l'association La Voix de l'enfant, auteur de Viol d'anges chez Calmann-Lévy en 1997, affirma au cours de l'émission « avoir eu connaissance, en région parisienne, de charniers d'enfants», affaire pour laquelle une instruction était censée être en cours. Ce qui fut infirmé par les autorités judiciaires en la personne de Madame la ministre de la Justice, Élisabeth Guigou, qui a démenti l'existence d'une enquête judiciaire en cours sur la découverte d'un charnier d'enfants en Seine-et-Marne. Tous les parquets de la région Île-de-France ont formellement démenti cette information.

Georges Glatz, député au Grand Conseil du canton de Vaud et délégué du CIDE (Comité international pour la dignité de l'enfant) évoque l'affaire des CD de Zandvoort. Il explique une partie du fonctionnement de l'économie lucrative de ces réseaux pédophiles, évoquant des snuff movies sur DVD d'enfants violés et tués vendus 20 000 francs suisses sous le manteau.

« L’affaire des CD de Zandvoort » est une affaire criminelle exposée en 1998, qui a prouvé l'existence de réseaux d'exploitation sexuelle d'enfants et de production de pédopornographie basés dans l'Union Européenne.